Articles 2019-2020


Les journées Européennes du Patrimoine – septembre 2020

Et le nôtre : notre patrimoine arcisien ?

A l’heure de la préservation des monuments de même que de leur histoire, nous apprenons la cession de l’ancienne école des filles où sont situés les restos du cœur par la mairie à un promoteur. ?!

Ce lieu fait partie de notre patrimoine comme en atteste sa description (cf ci-dessous).

La proposition doit être certainement alléchante car cette « vente » et ce réaménagement de l’endroit n’étaient pas au programme de notre maire lors des dernières élections qui ne datent que de 6 mois. Il est donc facile de vérifier cette information. Qui ou quoi a donc pu pousser notre maire a une telle décision ? Y aura-t-il des logements, collectifs, individuels… Le secret est trop bien gardé pour en savoir plus. Mais… nous y pensons : que deviennent les restos du cœur alors que leur utilité est encore plus cruciale aujourd’hui ? Quel endroit leur sera réservé à l’avenir ? Tout cela a dû être pensé et repensé comme l’AUDIT de circulation après avoir refait l’avenue…

Malgré les concertations annoncées avec les  arcisiens pour prendre connaissance des projets par le biais de réunions publiques il n’en est rien pour cet endroit. Espérons qu’un minimum d’informations soit révélé pour les riverains qui verront de fait leur cadre de vie perturbé et gageons que la proximité des écoles ait été prise en compte.

Bois d’Arcy : ville nouvelle… d’où nous sommes, il n’y a qu’un pas. Peut-être qu’un jour nous apprendrons la démolition de l’école TURPAULT pour faire une autoroute. A l’allure où vont les choses, il ne faut s’étonner de rien.

Un souvenir de saison : l’Ecole des filles – septembre 2020

La rentrée scolaire est à nouveau l’occasion d’évoquer l’une des écoles de Bois d’Arcy. Contrairement à celle des garçons actuellement remplacée par un parc de stationnement (voir Bois d’Arcy-le Journal n°29), l’école des filles subsiste, dissimulée sous un triste ravalement des années 1960-70. Elle est située à l’angle de la place de l’Église et de la rue Louise-Michel. Les élèves qui se rendent à Vigée-Lebrun ou les usagers du bus 415 passent devant régulièrement. C’est aussi le siège de la permanence du secours catholique. L’école libre de filles est ouverte sous le Second Empire le 3 mai 1858 par Mademoiselle Salomée Acher. Au rez-de-chaussée, un vestibule central donne accès : à gauche à la salle de classe, en face à l’escalier et à droite au préau. L’étage est occupé par le logement de l’institutrice, soit deux chambres en façade, une salle à manger et une cuisine à l’arrière. Le terrain est agrémenté d’un parterre correspondant à la bordure actuelle. La cour est à l’arrière (à l’emplacement d’une partie de l’actuelle cuisine centrale). En 1870, l’appartement de l’institutrice, occupé par un commandant prussien, est incendié. Dans un premier temps, le Conseil municipal avait envisagé de faire de l’établissement une école communale. Mais il doit y renoncer le 18 août 1867. « La Commune de Bois d’Arcy se compose seulement de 460 habitants, ce qui n’entraîne pas pour elle I ‘obligation d’entretenir une école publique de filles ; qu’elle est du reste satisfaite de la manière dont est tenue l’école libre de filles qui existe en ce moment ». Finalement le 14 mai 1876 la maison est acquise moyennant le prix principal de 5000 francs, plus 500 francs de mobilier. L’école libre devient alors communale et le Conseil municipal vote en 1877 un supplément de traitement de 200 francs à l’institutrice, Mademoiselle Anne Duval.1906 francs pour l’école !

Cette année-là, un devis des réparations à effectuer est demandé à l’architecte Armand Petit qui visite le bâtiment le 9 novembre. Dans son rapport, il s’intéresse particulièrement à la santé des élèves. Il signale que « la classe a une dimension de 6.45 x 5.45 et 3 m 00 de hauteur. Ces mesures donnent un cube d’air de 105 soit plus de 4 mètres par élève à raison de 25 élèves qui fréquentent actuellement la classe » (en réalité, il semblerait que la classe ait compté selon les années de 30 à 33 élèves). Petit ajoute que la salle est « aérée par 4 baies donnant ensemble une surface de 18 mètres à l’entrée de l’air extérieur ». Les travaux sont adjugés à Liou en 1881 et sont achevés en 1882. Ils auront coûté 1906 francs et 6 centimes.

En 1930, le nombre croissant des élèves de l’école des filles oblige le Conseil à demander à l’inspection académique une institutrice adjointe. En 1933, il devient urgent de créer une classe enfantine en raison du « surpeuplement scolaire (120 enfants), en attendant la création d’un groupe scolaire devenu nécessaire ». Le Conseil propose pour cette quatrième classe le préau de l’école des filles qui mesure 4,25 m sur 7, 50 m, à charge pour la ville de faire construire « par les chômeurs » un nouveau préau à côté. Depuis une Arcisienne se souvient avoir commencé sa scolarité dans la classe enfantine de l’école de bois (à l’emplacement du marché), puis être allée à Turpault qui venait d’être achevée. En raison de l’occupation allemande, elle a poursuivi ses études primaires dans le bâtiment de l’ancienne école de filles, avant de retourner à Turpault. L’école de la rue Louise-Michel comportait alors une classe au rez de chaussée et une au premier étage. Ensuite, l’école a été divisée en studios. L’aspect général du bâtiment n’a pas été modifié. En façade, les ouvertures ont été élargies et les volets de bois ont été remplacés par des volets métalliques de couleur moutarde ou tabac fanées. Les murs recouverts d’un vilain ciment gris sont encore surmontés de leur corniche moulurée du XIXe siècle. Il suffirait de peu de choses pour redonner à l’édifice une partie de son allure d’antan.

Éric THIÉBAUD
Sources : Archives communales de Bois d’Arcy : Délibérations du conseil municipal Archives Départementales : 20 27/ 3. Remerciements à M. Colas.

Un parcours annoncé – septembre 2020

Comme vous le savez, une élection législative partielle aura lieu les 20 et 27 septembre prochains.
Notre maire s’y présente après avoir été réélu il y a seulement 6 mois lors des dernières municipales.

Bois d’Arcy : un tremplin… Il fallait s’y attendre. Parachuté en novembre 2009 au conseil municipal, le chemin parcouru est du plus bel effet, mais nous savions qu’il ne s’arrêterait pas là.

Entouré comme il se doit avec des appuis et non des moindres, il a su frayer son chemin et avoir pignon sur rue de par toutes les fonctions extra-municipales qu’il occupe. Ce n’est pas un maire à temps plein de toute évidence… mais ça marche. La lettre reçue dans les boîtes ressemble à un billet doux, où l’excuse de laisser la ville sans la quitter et le sous-entendu « je ne vous oublierai pas » nous ferait presque avoir la larme à l’œil.  En revanche à la réception des professions de foi, le texte se veut anonyme. Evidemment nous direz-vous !

Et sans attendre plus longtemps, il désigne lors d’un meeting le nom de son successeur pour notre ville : M. LUCE. Nous nous en doutions, ce dernier étant actuellement le 1er adjoint. Etonnés, nous ne le sommes pas. Certains partis politiques sont de grandes familles où « arrangements » riment avec « entre amis ». Le fameux « merci de votre confiance » au soir des élections peut rendre certains amers. La confiance n’aura peut-être duré que 6 mois, le futur maire, s’il en était, n’aura pas été du fait des arcisiens mais par défaut.

Le code des marchés publics non respecté sur Bois d’Arcy – Décembre 2019

Dans le magazine de novembre le maire annonce un retard pour les travaux de l’école Simone Veil suite à une défaillance d’entreprise. Une défaillance est toujours possible mais la décision de la municipalité de prendre l’entreprise arrivée en second lors de l’appel d’offre est totalement illégale.

Le code des marchés publics impose de relancer une procédure pour le lot défaillant. Le directeur des services est donc passé outre. Le maire est le garant du bon respect des règles en la matière.

Ce genre de décision est grave et dangereuse pour l’avenir économique de Bois d‘Arcy. Espérons que la ville ne soit pas attaquée par une entreprise lésée sinon nous nous dirigeons droit vers un contentieux qui peut coûter cher.

En savoir plus !

Des réservations sous haute surveillanceDécembre 2019

La réservation de salles pour les associations présentant une liste pour les prochaines élections municipales n’est plus chose aisée sur notre commune depuis l’ouverture de la campagne.

Nous pouvons une seule fois par mois obtenir un prêt gratuit pour la salle Maurice Chevalier à l’Espace Baragué selon la délibération. Cela est légal mais n’est-ce pas une façon de museler toute opposition ? Ladite salle étant occupée par des associations culturelles et sportives, nous avons été orientés vers la salle Champs d’Arcy II, à 2 reprises, située dans la résidence éponyme. Cette salle ne figure pas dans la délibération. Devrions nous remercier le maire qui, dans sa grande mansuétude, a recherché un endroit pour que nous puissions néanmoins nous réunir ? Cependant nous ne sommes pas tous égaux. L’association qui soutient le maire actuel peut réunir ses membres à la salle associative de la Tremblaye alors que cette salle ne peut être prêtée toujours selon la délibération. Cette information que nous tenons d’arcisiens sportifs est un bel exemple d’équité. 

Mais ce n’est pas tout. A partir du mois de janvier, nos réservations devront passer par le cabinet du maire et plus précisément par sa directrice. Pourquoi ne pouvons-nous plus réserver par le biais de la vie associative ? Ce service aurait-il failli en autorisant notre réunion à la salle Maurice Chevalier ? Sans être étiqueté « parano » il faut avouer que tout est mis en place pour empêcher l’expression qui va à l’encontre de la majorité et lorsque certains parlent de démocratie, il serait nécessaire de revoir la définition et ne pas l’appliquer à sens unique.

L’aménagement des lisières de forêt – Octobre 2019

…un choix politique comme la municipalité aime à le dire, mais qu’elle se rassure, cela n’aura échappé à personne.

La présentation de cet « avant-projet » n’a laissé aucun doute sur l’avancement de cette réalisation qui, pour beaucoup, est apparue comme déjà actée.

Entre pas de tir à l’arc avec son club house, boulodrome de 32 parcours avec son club house, cross training, circuit ludique pour les écoles (sécurité routière), bosquet avec aire de jeux pour enfants, aire multisport et grande prairie pour les loisirs – promenade, tout y est, même des sanitaires qui, espérons-le, seront mieux entretenus que ceux du cimetière.

Cette nouvelle concentration est-elle réellement nécessaire dans un environnement qui n’y est pas propice ?

Mais pourquoi une telle précipitation pour mener à bien ces choix politiques lorsque le réel besoin est ailleurs ? La construction d’une salle de sports dans ce quartier ne devrait-elle pas être prioritaire ? Elle le sera bien sûr après tout ça. Et pour asseoir ses propos, le maire donne même l’endroit de ce nouvel équipement : derrière l’école mais pas de date…

Et que penser d’un boulodrome de 32 parcours dont 4 couverts avec son club house : briguons-nous les tournois nationaux au vu de cette infrastructure qui comptabilise le nombre requis ?  » Il me semblequ’il y a bien plus d’enfants à Bois d’Arcy que de joueurs de pétanque »s’est interrogée une participante « et de tels investissements ne devraient-ils pas concerner le plus grand nombre » ?

Et la question qui a été posée plusieurs fois :  quid de la circulation, du stationnement ? Des parkings sont prévus, pensés comme il se doit avec des arbres pour « casser » les lignes de véhicules en stationnement : du plus bel effet mais les riverains déjà visiblement fatigués par les nuisances, y adhèrent-ils ?

Lorsque tout cela sera sorti de terre, qu’en sera-t-il de l’entretien ? Les rives du canal sont plus ou moins laissées à l’abandon à l’heure actuelle et on en rajoute. On parle d’aires de promenades faites en bois : allez voir le square Mauban et vous remarquerez l’état des planches… 

Alors que la campagne électorale est commencée, le maire n’a pas hésité à revenir sur les équipements qui ont vu le jour durant son mandat. N’est-ce pas interdit ? Cela ne fait-il pas parti du bilan ?

Que d’interrogations mais il faut se poser les bonnes questions et surtout le pourquoi.

Une réunion publique mouvementée !juin 2019

Des parents et des équipes pédagogiques qui s’inquiètent, le département qui s’impatiente, un maire irrespectueux de l’inquiétude qui lui fait face : la réunion qui a eu lieu dans la salle des fêtes de la ville ce jeudi 20 juin avait pourtant été préparée avec soin, en apportant une explication chiffrée aux petits oignons, malgré tout il reste de nombreux désaccords. Clairement, le cœur n’est pas à la fête ce jeudi soir.

Des paroles et des chiffres

Le maire ouvre la réunion en pensant rassurer tout le monde : Il annonce fièrement qu’il n’y aura pas de désectorisation vers Fontenay et Saint-Cyr pour les futurs collégiens et que plusieurs projets de travaux sont prévus cet été en prévision de la surpopulation du collège. Le voilà pourtant qui fait face à un mur de déception et de colère.
De multiples communications ont été faites pour tenter de rassurer les parents en amont. En effet, au travers du site, du journal et du Mag des parents, la mairie a plusieurs fois annoncé qu’en dépit de la grogne en cours, les travaux du collège étaient parfaitement bien envisagés.

Il y en a eu des travaux (de rénovation) dans ce collège, ajoute le maire, et le budget du département est déjà de 180 000€ pour l’été. Si l’information n’est pas passée au début de la réunion dans toutes les oreilles, elle sera dite et redite par la suite, ce qui vaudra une intervention d’une mère en colère « Merci, je paye mes impôts ».

Etape 1, été 2019 : Le département annonce que les travaux de l’été concernent la sécurisation du parvis, avec une nouvelle entrée de parking, la création de deux (Mais où est passée la 3ème classe annoncée lors du Facebook Live ?) nouvelles salles de classe réalisées en réaménageant quatre salles existantes, et  un décloisonnement du côté de la salle de restauration des professeurs.

Etape 2, en 2021 : à définir.

Si les travaux semblent suffisants pour le département, cela ne l’est pas pour l’équipe pédagogique comme pour les parents. Et il y a de quoi. Si l’espace d’apprentissage en classe devrait être suffisant, l’espace de circulation type escaliers, hall d’entrée, préau, couloirs, toilettes, et restauration, risque d’être vite invivable sachant que l’équipe souffre déjà des conditions actuelles.

Des chiffres, et des paroles

Effectifs passés et effectifs futurs envisagés pour le collège Mozart :

  • 2015 : 560 élèves
  • 2018 : 730 élèves
  • 2019 : 770 élèves
  • 2020-2021 : 800 élèves.

Ces effectifs prévisionnels ont été annoncés par le département en se basant sur les effectifs maternelles/primaires et collège avec comme indice de progression, la dynamique extérieure (c’est-à-dire les arrivées et départs du collège) et les constructions en cours et à venir en partant sur une base statistique de 15 collégiens pour 100 logements, au lieu de 10. La marge d’erreur est annoncée très faible (à un élève près) et les chiffres dits fiables.
Nous ne sommes pas loin de l’étude scientifique. D’ailleurs comme toute étude, il serait alors normal d’avoir une exception qui confirme la règle … L’intervention de Mme Le Merlus, principale du collège, en est la preuve. En se basant sur les chiffres des inscriptions en cours des 6ème, les effectifs en 2019 atteindraient 790 ?!

La diminution des effectifs annoncée pour 2021, n’en serait pas vraiment une : les effectifs devraient stagner à 800. Une légère différence de vocabulaire, une grosse différence pour l’avenir et le bien être des collégiens. Les élèves serrés, ne respireront donc pas mieux par la suite.
La ville comptera 1100 logements construits entre 2015 et 2020, et 400 logements à venir. Il semblerait que ce soit la faute de l’ancienne équipe municipale car ces logements aurait été prévus depuis au moins 10 ans ! « C’est pas moi » sera d’ailleurs la réponse à beaucoup de questions.

Actuellement le seuil maximum de sécurité annoncé par le département est de 700, les élèves sont 730 à ce jour. Mais si tout va bien, alors c’est que tout va bien.

Des chiffres, mais où sont passés les enfants ?

Là où les chiffres s’additionnent, se multiplient et se divisent pour montrer que 2 et 2 font 4 et donc que le collège aura la taille exacte de son besoin réel, les enfants perdent leur valeur humaine, et à défaut de trouver une place sereine au sein de la vie scolaire et collective, ils trouveront une chaise où s’assoir. Ce n’est déjà pas si mal étant donné que les professeurs, eux, n’en n’auront plus pour déjeuner.

Concernant les enfants des ULIS (Unités Localisées pour l’Inclusion Scolaire) avec des besoins spécifiques,  ce n’est apparemment pas le problème de la mairie. Il faut tout de même y penser afin de permettre des inclusions sereines et adaptées, sans apporter un stress, supplémentaire aux enfants, aux parents et aux professeurs.

Pas de réponse, pas de solution. Une réunion qui a seulement permis au Maire de montrer son vrai visage. Les enfants passent, une fois de plus, après le spectacle. Et c’est dire, car si les photos de la fête de la musique sont déjà en ligne, il semblerait que celles de la réunion se soient volatilisées !

« Investir pour nos écoles : une priorité municipale » peut-on lire en 1ère de couverture sur le magazine municipal de ce mois, le collège dépendant du département doit-il être oublié même si le maire est conseiller départemental et qu’il aurait dû intervenir plus tôt ? Il l’a été car toutes les alertes données depuis 3 ans par la principale du collège sont restées sans écho.

La comedia del quartier ne suffit plus !Juin 2019

Après les conseils de quartier voici les rencontres citoyennes en toute convivialité !

Monsieur le Maire n’hésite pas à multiplier les manifestations comme si les conseils de quartier ne suffisaient pas à écouter et à informer les citoyens. Il faut dire que les conseils de quartier laissent, actuellement, un gout amer aux participants qui ne trouvent pas d’oreille attentive ni de réponse à leurs attentes. Il n’y a aucun retour sur ce qui s’y dit ou s’y passe. Est-ce une dispersion pour faire oublier cette première embuscade déjà beaucoup plus marketing que démocratique ?

Le développement des supports numériques à foison ne faciliterait donc pas l’information. C’est ce que laissent à penser ces « nouvelles promenades ».
Nous en revenons toujours à l’essentiel : le contact ! A neuf mois des prochaines élections municipales la stratégie de communication pré-campagne se prépare. Tout est propice à la mise en avant de la municipalité en place.
*L’hebdo du maire* aurait pu s’appeler *l’hebdo des arcisiens*. C’est dire l’orientation de la stratégie de politique concentrée sur un seul homme…

Il ne faut pas hésiter à marteler pour être sûr que tout le monde soit bien au fait de ce qui se passe. Ainsi qui pourra dire ne pas être au courant ?
#nousparionsque d’autres « rapprochements » sont à l’étude.

Bois d’Arcy, rime dorénavant avec travaux et embouteillagesJanvier 2019

Rien n’est laissé au hasard avant les prochaines élections de 2020.
Mais tout a-t-il été bien pensé ?

Après le tronçon de l’avenue Paul Vaillant Couturier, l’avenue Jean Jaurès fait peau neuve. Cependant nous nous interrogeons sur la pertinence de lancer ces travaux alors que d’importantes constructions sont en cours et qu’il est impossible de détourner les camions et autres véhicules devant accéder aux chantiers. Quid de la chaussée ?

Il est évident que l’on ne peut pas faire de travaux de voirie sans perturber la circulation mais sachant qu’il y a des axes incontournables pour certains véhicules n’aurait-il pas été plus logique d’attendre la fin des constructions pour ensuite rénover cette partie de l’avenue Jean Jaurès ?

Mettre tout en chantier concomitamment afin que tout soit fini au moment des élections municipales de mars 2020 est-il une bonne chose pour notre ville et ses habitants ?

Chacun a ses propres échéances mais il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.

Autres remarques qui montrent, une nouvelle fois, que la mairie ne tient pas ses promesses et que les responsables de la sécurité ont mal anticipé les dangers liés à l’infrastructure :

  • Tous les arbres de l’avenue ont été enlevés avant les travaux. Ils devaient être remplacés à l’identique mais ça ne sera pas le cas : il y aura des arbres uniquement sur le trottoir côté Leclerc.

  • La piste cyclable sera séparée de la partie piétonne mais attention, les cyclistes devront passer sur la chaussée en contresens des voitures pour rejoindre cette piste cyclable située également côté Leclerc.

Il aurait été souhaitable que les actuelles et futures constructions soient terminées avant de lancer le chantier Jean Jaurès car ces travaux sont également l’occasion de dépenser plus d’argent qu’il ne faudrait. En effet, la stèle Santos Dumont, inaugurée il y a peu de temps, a due être déplacée le temps des travaux. Cela nous rappelle qu’il en avait été de même pour le carrefour de la poste où le terre-plein pavé avait été supprimé le temps du passage de la course Paris-Nice pour être reconstruit ensuite.

P. Benassaya, toujours attaché au « paraître », oublie qu’une des priorités évidentes de la mairie serait de réaliser des économies. Pourquoi se plaindre du manque de subventions de la part de l’Etat et dépenser inutilement l’argent de la commune ?

 

Les VOEUX DU MAIRE aux allures de CAMPAGNE ELECTORALEJanvier 2019

​​Rien n’a été laissé au hasard lors de la cérémonie des vœux aux personnalités. Tout était parfaitement orchestré pour que puisse rayonner le maire sans fausse note. Un travail de communication parfaitement huilé où P. Benassaya aurait pu remporter le prix dans la catégorie «Je maîtrise les nouvelles technologies».

Après un discours nationaliste de 25 min, place à Bois d’Arcy. La présentation de notre ville a donné lieu au bilan 2014-2019 de l’équipe actuellement en place. Cela laisse penser que P. BENASSAYA est déjà en campagne.

Ce show mapping vidéo était digne des grandes entreprises souhaitant briller sur un marché économique national. Vanter de cette sorte les réalisations fait penser à du marketing ! D’ailleurs le bar à huîtres en glace d’une réalisation parfaite faisait penser à ces inaugurations clôturées par ces fameux cocktails où les peoples se croisent non pas par affinité ou par plaisir mais par opportunité.

​Notre ville n’est pas une entreprise aux enjeux divers et variés !

Les vœux aux personnels le lendemain étaient beaucoup moins fastueux. Il est à déplorer l’absence d’un bon nombre laissant penser que cette politique d’entreprise ne satisfait pas. Le personnel y a été remercié comme à l’accoutumé mais il ne fallait pas s’attendre à un grand dîner par la suite.

Le maire connaît-il son personnel réellement ?
D’ailleurs #NOUSPARIONS qu’un réel effort sera fait de ce côté avant mars 2020.

Quant à la facture, nous l’attendons !

Elle avait déjà augmenté entre 2017 et 2018 et la nouveauté des vœux par quartier ne fera qu’accroître les dépenses, au détriment d’actions plus pertinentes.

Un plan VIGIPIRATE à géométrie variable sur BOIS D’ARCYNovembre 2017

Perspectives Arcisiennes tire la sonnette d’alarme !

​Alors que la mairie ne permet pas aux écoles de réaliser certaines fêtes habituelles pour des raisons de sécurité et qu’elle annonce aux parents d’élèves un test d’alarme anti-intrusion dans une de ses écoles, il semble pourtant que celle-ci ne soit pas au cœur de ses préoccupations cette année.

​Deux écoles, deux mesures !

On se demandait SI quelqu’un gérait la sécurité à Bois d’Arcy, mais maintenant nous pouvons nous demander COMMENT ?​
Comme nous pouvons le voir sur la photo, le plan Vigipirate pour l‘école Renaud-Barrault de la Croix Bonnet autorise le stationnement dans le dépose-minute. Le comble étant que le stationnement est autorisé toute la journée dans la rue Jean Gabin.

Aujourd’hui nous pouvons constater que des véhicules stationnent, devant l’école, des jours voire des semaines sans bouger.
​La responsabilité de la Mairie est engagée en cas d’incident ou d’accident. Il est inconcevable que le préfet ait donné son aval pour déroger au plan Vigipirate !

​Si c’est le cas, pourquoi à l’école du parc, la Mairie applique t’elle le plan Vigipirate ?
Plus globalement, c’est le «grand bazar organisé» devant les écoles de la Croix Bonnet : stationnement permanent rue Jean Gabin (autorisé par la mairie) ; stationnement intermittent pour déposer ou récupérer les enfants dans les quelques places qui ne sont pas occupées sur la rue et enfin pour certains, utilisation du dépose-minute.

​Inutile de souligner que tout cela créé, chaque jour, une insécurité accrue pour nos enfants.
Idem pour le passage protégé central qui n’est pas mis en sécurité avec un dispositif adapté, lequel interdirait aux véhicules d’y stationner.
​Ces problèmes sont fréquemment relayés par les parents d’élèves alors : à quand le responsable de la sécurité sur le terrain pour constater les manquements aux règles de sécurité élémentaires et les problèmes afférents ?

​​ »Perspectives Arcisiennes » propose…

  • ​ Rétablir le dépose-minute, avec l’accord du Préfet et pour TOUTES les écoles de la commune, pour un arrêt maximum de 15 minutes
  • Tolérer le stationnement sur la rue, également pour 15 minutes, de 7h00 à 18h00 et d’autoriser le stationnement sans conditions de 18h00 à 7h00, les jours d’école
  • Autoriser le stationnement sans conditions les jours sans école et le week-end pour les riverains (afin de pallier au manque cruel de places)

PERSPECTIVES ARCISIENNES : ces valeurs qui sont les nôtresOctobre 2018

​Notre vocation est juste celle du bien être et du bien vivre sur notre commune.
​Pour ce faire et gagner votre confiance quoi de mieux que de faire connaissance ?

​Certains d’entre nous ont déjà été élus en tant que conseillers municipaux ou adjoints dans les mandatures précédentes, certains d’entre nous siègent actuellement au conseil municipal dans l’opposition et d’autres sont des citoyens qui adhèrent à notre cause. Ils font partie de notre association car il s’agit bien d’une association locale sans aucune implication politique.

​Les membres qui composent Perspectives Arcisiennes sont salariés, fonctionnaires, indépendants ou retraités. Leurs connaissances dans divers secteurs nous aident à concevoir un avenir communal pensé, réfléchi et en adéquation avec vos attentes.

​Aujourd’hui, lorsque nous voyons notre ville et son devenir n’a-t-on pas oublié les arcisiens ? Bien sûr il y a des manifestations et même des nouveautés, juste «histoire» de peaufiner la communication du style «voyez ce que l’on fait pour vous, nous sommes un tout. Vous êtes le centre de nos intérêts».
​Mais sur le terrain, les arcisiens sont-ils entendus, sont-ils consultés de la bonne façon avec des questionnaires ouverts, sont-ils reçus en mairie dans des délais raisonnables… ?

​Le changement urbain de notre commune a-t-il été bien pensé ? Un Bois d’Arcy nouveau est-il en gestation ? Le maire actuel nous dit tout est neuf, que rien n’a été fait auparavant. Alors bientôt, à l’entrée de la ville nous pourrons lire «Bois d’Arcy : ville nouvelle» ?
​Mais qu’en sera-t-il de notre patrimoine, de notre histoire et de ces noms dignes de mémoire ?

​Ce n’est pas encore la campagne pour les prochaines élections municipales qui commence mais seulement la présentation de notre association Perspectives Arcisiennes, 18 mois avant l’échéance.​
Nous serons force de proposition à la hauteur d’un budget que nous savons «rétréci», pour faire de Bois d’Arcy une alvéole du bien vivre à l’intérieur d’un poumon que sont les Yvelines.​​

BOIS D’ARCY : LES RUES SE DEGRADENT A « VITESSE GRAND V »Novembre 2017

​La précédente municipalité était très active
pour que les rues de Bois d’Arcy soient maintenues en bon état

​Aujourd’hui, les choses n’évoluent pas dans ce sens, même si durant sa campagne électorale, le maire actuel prétendait que s’il était élu, les travaux de voirie sur Bois d’Arcy allaient s’accélérer.

La voirie arcisienne en chiffres de 2008 à 2014

​Revenons sur les travaux de voirie effectués à Bois d’Arcy par l’ancienne équipe municipale de 2008 à 2014.

​Réalisations :
Rue Raymond Falaize (dernier tronçon), Carrefour du Puit, rue Robespierre, rue Debussy, rue du vieux Bois d’Arcy, rue Edouard Vaillant, rue Camille Saint-Saëns, rue Messager, rue Chopin, rue du chemin Vert, rue du Parc, rue Bizet, rue Alexandre Turpault, rue Henri Barbusse, Tourne à gauche Cosec, Avenue Paul Vaillant Couturier.

​Bilan : 15 ouvrages achevés (de 2008 à 2014) ; de très lourdes réfections avec l’enfouissement de l’ensemble des réseaux techniques de Bois d’Arcy et surtout, une très belle réhabilitation de l’avenue Paul Vaillant Couturier. ​††††

Travaux prévus sur le mandat 2014-2020 :

†††Rue Camélinat, rond-point Hoche/Jouvet, rue Etienne Jules Marey, rue Baudin, rue de la Paix, rue Edouard Branly, rue d’Arcy, rue Louise Michel, rue Myosotis, rue Pervenche, rue Primevère, rue Jonquille, rue Paul Gauguin, rue Dos Santos Dumont, rue Ambroise Paré, rue Hoche.

Un point sur les travaux réalisés de 2014 à 2017 par l’équipe actuelle

​Aujourd’hui, le quartier de la Croix-Bonnet représente des kilomètres de voirie supplémentaire, de
quoi poursuivre et même amplifier les travaux de voirie, sous peine d’une dégradation très rapide du réseau routier.​
​Sur son programme de campagne, le maire actuel annonçait un plan pluriannuel et prétendait faire mieux que ses prédécesseurs.

​Réalisations (en 3 ans) :
Rue Gauguin, une partie des rues Toulouse Lautrec et Hoche, la rue d’Arcy, les abords du cimetière et le tour de l’Eglise.

Bilan :
4 ouvrages achevés, dont les abords du cimetière qui se trouvent dans la ZAC pour lesquels les travaux devaient être réalisés par GPA.

​Les prévisions :

  • Rond-point Hoche (GPA), rue Paul Vaillant Couturier, rue Jean Jaurès, rue Etienne Jules Marey1, rue Camélinat2.
  1. Les rues Etienne Jules Marey, Paul Vaillant Couturier, Jean Jaurès : leur réfection se ferait principalement grâce au PUP (Projet Urbain Partenarial) ce que permet la loi récente Alur (2014).
    http://www.cohesion-territoires.gouv.fr/spip.php?page=article-sous-site&id_article=2387&sommaire=432
    http://www.la-loi-alur.org/
    https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2014/3/24/ETLX1313501L/jo#JORFSCTA000028772260
  2. Rue Camélinat : projet initié par la précédente équipe municipale mais continuellement reporté par P. Benassaya qui, à l’encontre de tout bon sens, décide de supprimer l’arrêt minute dans cette même rue pour le placer devant le feu tricolore, gênant la visibilité. Cette décision et le fait d’admettre un stationnement à cheval sur le trottoir, mettent les usagers en danger et interdisent le passage avec une poussette au niveau des poteaux.
    Les places de parking intégrées au trottoir prévues par le projet initial n’ont pas été retenues.

Le compte n’y est pas !

En agissant ainsi, la municipalité hypothèque gravement les finances de notre ville car il faudra bien rattraper ce retard dans l’amélioration/la réfection de la voirie de notre commune. Dans un avenir proche, ces choix politiques risquent de générer de grandes difficultés à long terme !​†

DES CHIFFRES, DES CHIFFRES et DU VENT…Novembre 2017

​L’actuelle équipe municipale est arrivée à mi-mandat et le Maire se montre très fier des «changements» de politique qu’il a initiés.

​Pour renforcer son image, un sondage est mis à disposition des Arcisiens sur Internet. Le but étant de classer «leurs priorités sur ces changements» par ordre d’importance : Sécurité – Cadre de vie – Ecole numérique – Services publics – Jeunesse – Sport – Développement économique – Démocratie locale.

Comme l’indique la mairie, elle a reçu 150 réponses présentées sur le diagramme ci-après :

Nous reprenons simplement les chiffres publiés, sachant qu’un pourcentage représente toujours une partie des 150 réponses.

​Pour notre part, nous allons présenter ce diagramme sous un autre jour.
​Sachant que la population arcisienne compte environ 15 000 habitants, soit 12 000 adultes ou électeurs, nous en déduisons que 1,25% seulement de cette population s’est montré intéressé par les critères proposés.
​Pour donner une idée beaucoup plus concrète, nous vous proposons de transformer les pourcentages en nombre de voies…​†

​Sachant que la population arcisienne compte environ 15 000 habitants, soit 12 000 adultes ou électeurs, nous en déduisons que 1,25% seulement de cette population s’est montré intéressé par les critères proposés.

Ces pourcentages sont tellement bas qu’ils ne sont pas significatifs. C’est pourtant sur ces chiffres que s’appuie le Maire pour valider sa politique et justifier ses nouveautés dans Bois d’Arcy !

Les résultats de ce sondage montrent un désintérêt des Arcisiens pour la politique de l’actuelle équipe municipale.

Ce bilan de mi-mandat n’est donc pas favorable à l’actuelle municipalité !

LA CROIX BONNET ET SON CANAL PAYSAGER​Novembre 2017

Magnifique réalisation !
Comment imaginer Bois d’Arcy aujourd’hui sans ce canal devenu incontournable
Magnifique réalisation ! Comment imaginer Bois d’Arcy aujourd’hui sans ce canal devenu incontournable.
Il fallait oser et être visionnaire pour se lancer dans une telle réalisation, formidable sur le plan environnemental même si elle hypothèque de fait des terrains à bâtir.

Malgré cela, lorsque le canal a débordé au printemps de cette année, le Maire dénonce le manque de professionnalisme de la précédente équipe municipale dans la réalisation d’un tel ouvrage et accuse son prédécesseur de «…mépriser les Arcisiens» (Conseil municipal du 30 juin 2016).

​La construction du canal de la Croix-Bonnet : des experts «à la pelle» !

​Dans le Parisien du 19 avril 2016, un ancien-élu de la précédente équipe municipale déclare à ce propos : «Nous avons fait confiance à l’aménageur et ce n’est pas nous qui avons fait les plans».
D’une part, le maire rend responsable l’ancienne municipalité pour une  réalisation faite sous contrôle de l’aménageur, et d’autre part, il commande «une étude hydrologique complète pour savoir quelles mesures adopter».
Pour répondre sérieusement à ces critiques, nous sommes contraints de faire un exposé technique, mais précis et détaillé.

Pourquoi laisser croire que le travail des experts soit en cause ?​

Liste des experts ayant travaillé sur l'élaboration du canal paysager de la Croix-Bonnet à Bois d'Arc

Pour mémoire, l’AFTRP, aménageur de la Croix-Bonnet, était en charge du fonctionnement du canal jusqu’en juin 2014. Ensuite, l’équipe municipale en place actuellement reprend la main… et c’est à ce moment là que les ennuis ont commencé !

Le canal, schéma et photos

Schéma simplifié du canal et de ses bassins

Fonctionnement du système hydrologique :

​​Il est composé de 5 canaux et de 2 bassins.

  • L’eau de la rigole des Clayes entre dans le canal C5 via la forêt.
  • Les canaux C4-C3-C2-C1 forment un bassin unique qui recueille les eaux ruisselant sur le bassin versant de la ZAC.
  • Le bassin de la ZAC gère les apports jusqu’à l’orage vingtennal, le niveau d’eau monte temporairement, ce qui renouvelle l’eau dans les canaux.

Le rejet pluvial est limité par deux organes de régulation protégeant la vallée de la Bièvre des inondations :

  • ​ un ouvrage de régulation à l’extrémité aval du canal C1 limite le débit de vidange de la ZAC à 55 litres/seconde. C’est une contrainte forte ! Après un orage, on ne peut vider que 4752 m3/jour, par exemple, il faut 5 jours pour vider l’orage décennal,
  • le clapet hydraulique du canal C5 se déclenche pour rejeter l’excédent d’eau en forêt en cas d’orage très fort ou de pluie incessante (Source : Hydratec).

Que s’est-il passé lors de l’inondation de 2016 ? Rétablissons la vérité.

Premier constat :

​Le bassin de rétention derrière Leclerc était spectaculairement vide depuis 1 an et demi, son assèchement était incompréhensible.

La raison :

L’adjoint au maire s’explique en commission : pour des raisons techniques (non identifiées), la vanne C1 ne laissait passer qu’un litre/seconde au lieu de 55 litres/seconde, avec les conséquences logiques que chacun a pu observer.

Conséquences : les inondations de la Croix-Bonnet (pontons, rives et îles)

  • Le jeudi 14 avril 2016, avant l’arrivée de nos hôtes allemands du comité de jumelage, la municipalité augmente l’ouverture de la vanne C1 de façon conséquente et supérieure à 55 litres/seconde. Il fallait faire baisser rapidement l’eau du canal.
  • La montée en charge des canalisations était sous surveillance, mais le niveau d’eau du bassin augmente si rapidement que cela devient alarmant.

Dans les semaines qui ont suivies, Bois d’Arcy a connu de très fortes pluies, le bassin de rétention étant toujours à son niveau maximun. Ce dernier se vidant par infiltration, il faut donc du temps.

​La décision qui a été prise de fermer cette vanne dans cette situation n’était pas la bonne car les conséquences (que l’on connaît tous) ont été catastrophiques.

​Le canal est monté en charge, provoquant la défaillance de certains clapets, provoquant des inondations dans plusieurs résidences de la Croix-Bonnet. Le clapet hydraulique entre le C4 et C5 ne fonctionnant pas, les pompiers ont dû rejeter l’excédent d’eau dans la forêt.

​Une bonne nouvelle pour conclure !

Bois d’Arcy n’est pas éligible au PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondation) !

Cela démontre bien qu’il n’y a pas de risque majeur d’inondations, mais si le risque 0 n’existe pas il faut, pour s’en rapprocher, maîtriser les dossiers.

​​« Perspectives Arcisiennes » propose…

  • ​ S’investir professionnellement dans le contrôle et le réglage des différents éléments techniques (vannes, clapets, niveaux, etc).
  • Surveiller régulièrement l’équilibre entre la hauteur des eaux des deux bassins.
  • Augmenter le volume du canal C5.
  • Communiquer avec les habitants concernés sur les risques d’inondation. ​

ZONE INDUSTRIELLE DE LA CROIX-BONNET novembre 2017

​La municipalité brade les terrains de la Croix Bonnet
et sacrifie de futurs emplois potentiels… !

Le Maire de Bois d’Arcy se vante régulièrement que ce n’est plus Grand Paris Aménagement (GPA) qui fait ce qu’il veut mais que c’est la municipalité qui commande GPA, à la différence de l’ancienne équipe municipale.

La précédente municipalité a toujours eu à cœur de créer de nouveaux emplois sur la commune de Bois d’Arcy. En 2014, le bilan est très positif : 2 000 postes ont vu le jour grâce à l’arrivée de Leroy Merlin, Hilti, la Poste, Spirit 1 et 2, H2 pharma, Schäfer & Peters, Boiron et encore bien d’autres entreprises !​

Le précédent Maire avait pour projet d’implanter une grande entreprise sur le terrain «stratégique» situé entre Leroy Merlin et le château d’eau : 47 586 m2 pour continuer à créer de l’emploi mais aussi, pour ne pas brader pas cet espace majeur de la Croix-Bonnet.

​​RAPPEL :

Le développement économique de notre commune est une compétence de Versailles Grand Parc !

MALGRE CELA, le Maire «installe» une directrice du développement économique à la mairie de Bois d‘Arcy.

​Cette situation est communément appelée doublon.

La municipalité se plaint sans cesse des difficultés qu’elle rencontre dans la gestion financière de Bois d’Arcy… Peut-être que ce salaire inutile ainsi que les charges associées pourraient servir dans un autre domaine ?

​Ce terrain, idéalement situé, sera donc dévolu aux camions Joly, à Leroy Merlin et à une entreprise de menuiserie. Il est évident que la mairie actuelle en agissant ainsi, abandonne la création de nombreux VRAIS emplois, car ces entreprises sont déjà installées sur la commune. POURTANT, le maire ne va pas manquer de s’attribuer ces installations comme une réussite économique…!

Mais le bilan de mi-mandat n’est que de 150 emplois créés
et 7 entreprises supplémentaires avec  Méliès 3 !

Nous sommes loin des 2 000 emplois créés par la municipalité précédente.

En conclusion, notre maire accepte la demande de GPA qui souhaite se désengager au plus vite de Bois d’Arcy.

​Il est de bon augure de penser qu’afin d’en terminer rapidement avec ce quartier, la municipalité actuelle votera, d’ici peu, pour la construction de nombreux logements.

Nous nous opposons à ce bradage, comme nous nous opposons à la suppression de la salle de sport à la Croix Bonnet (projet de la municipalité précédente) pour la création d’une mairie annexe complétement inutile.

​Afin d’éviter de longs trajets (dangereux) aux écoliers de notre commune, le projet devait leur fournir une salle de sport facilement accessible, dans le triangle entre les écoles et la Ferme Sainte Marie. Cette construction devait être complétée par des salles dédiées aux associations et aux jeunes de la Croix-Bonnet.

​Les parents d’élèves apprécieront, leurs enfants seront obligés de se rendre à pied au Cosec ou au gymnase Perdreaux ….!

​​ »Perspectives Arcisiennes » propose…

  • Installer des entreprises non-Arcisiennes sur le terrain de 47 586 m2 => créer de nouveaux emplois.
  • Bâtir une salle de sport et des salles dédiées aux associations et aux jeunes à la Croix-Bonnet
    => éviter les longs trajets dangereux aux écoliers et aux jeunes.
  • Refuser la construction d’une mairie annexe. ​